Énergie

L’Université de Paris (ex-Paris-Diderot) a ouvert à la rentrée 2019 un master 1 approches sociales des enjeux énergétiques (ASE2) afin de préparer les étudiants issus des sciences humaines et sociales à son master 2 énergie, écologie, société (E2S), existant depuis 2014. Le master énergie ainsi créé vise à répondre à la demande des entreprises, administrations et structures associatives qui cherchent des cadres capables d’y naviguer en ayant à la fois une compréhension des enjeux techniques et une capacité à analyser les éléments sociaux qui déterminent les questions énergétiques.

Ingénierie physique des énergies

Ce master 2 vise à former des ingénieurs de haut niveau dans le domaine de l’énergie, quel que soit son mode de production. La formation se fait sur deux ans (M1 et M2) et est couplée à l’école d’ingénieurs ESIEE. Le tronc commun aborde donc l’énergie au sens large, puis les étudiants choisissent deux spécialisations (de 60 heures chacune) parmi : énergie nucléaire, technologie et gestion des éoliennes, photovoltaïque et solaire à concentration, maîtrise de l’énergie dans le bâtiment.

Ingénieur en spécialité énergétique

Depuis plus de trente ans, l’École des mines de Paris, en partenariat avec l’association Isupfere, le Cnam, l’Université de Paris-Cité et le Greta Val-de-Marne, propose une formation d’ingénieur permettant de maîtriser et d’optimiser les installations énergétiques, y compris les énergies renouvelables. L’ingénieur opère sur toute la chaîne allant de la conception à la réception des installations en passant par la gestion et la maintenance. Les secteurs concernés sont la production et la distribution d’énergie, l’industrie et le bâtiment. Les métiers visés sont : ingénieur efficacité énergétique, ingénieur projets, ingénieur fluides et énergies, responsable de services techniques de grands sites industriels ou tertiaires, d’installation de production d’énergie, de traitement de déchets ou d’effluents.

Management durable de l’environnement, de l’énergie, de l’eau et des déchets

Ce mastère de management spécialisé en alternance forme des managers à la gestion durable des flux d’énergie, d’eau et de déchets à l’échelle d’une entreprise ou d’un territoire. Des enseignements spécialisés (maîtrise de la demande d’énergie, énergies renouvelables, bilan carbone, etc.) se conjuguent avec les fondamentaux du management (business plan, marketing, intelligence économique, qualité, etc.). Les enseignements sont dispensés uniquement par des professionnels (cadres, experts, consultants).

Économie de l’environnement, de l’énergie et du transport (EEET)

Ce master est porté par plusieurs établissements_: l’université de Paris-Saclay (au sein de laquelle le master implique AgroParisTech, CentraleSupélec, l’Institut national des sciences et techniques du nucléaire), l’université de Paris-Nanterre, l’École nationale supérieure du pétrole et des moteurs (IFP-School), l’École des ponts ParisTech en partenariat avec l’École des mines ParisTech. Il se décline en M2 selon cinq parcours distincts, tous ouverts à l’apprentissage_: économie de l’énergie_; économie de l’environnement et du développement durable_; modélisation prospective_: économie, énergie, environnement_; économie de l’alimentation durable_; économie des transports et des mobilités durables. Le parcours de master 2 économie de l’énergie propose une formation qui s’articule tout au long de l’année entre théorie et pratique, cycles de conférences et visites, ce qui permet aux étudiants d’être rapidement opérationnels.
Les compétences acquises à l’issue de la formation sont les suivantes_: analyser les marchés de l’énergie et les filières énergétiques ainsi que les aspects technologiques_; réaliser et interpréter des études prospectives_; développer une méthode d’analyse multicritère dans l’élaboration des choix stratégiques d’intervention_; savoir mettre en pratique les outils de gestion de projets et de gestion de risques_; élaborer des business plans pour étudier la rentabilité et le financement de projets_; organiser la coordination des acteurs de manière à rendre opérationnelles des solutions proposées_; modéliser et quantifier un phénomène économique_; comprendre les mécanismes et institutions à l’œuvre dans les politiques publiques et les stratégies de négociation. Les cours ont lieu pour la partie économie de l’énergie à l’IFP-School (Rueil-Malmaison) et à l’INSTN (Saclay), pour le M1 à l’Université de Paris-Nanterre et, pour les autres parcours de M2, à Palaiseau, sur le campus Université Paris-Saclay (Paris).

Métiers de l’électricité et de l’énergie (MEE)

Cette licence professionnelle proposée par plusieurs IUT (Montpellier, Brest-Morlaix…) aborde une composante réseaux électriques et énergies renouvelables, et particulièrement les énergies éolienne et photovoltaïque.

Métiers de l’électricité et de l’énergie (MEE)

Cette licence professionnelle proposée par plusieurs IUT (Montpellier, Brest-Morlaix…) aborde une composante réseaux électriques et énergies renouvelables, et particulièrement les énergies éolienne et photovoltaïque.

Métiers de l’électricité et de l’énergie (MEE)

Cette licence professionnelle proposée par plusieurs IUT (Montpellier, Brest-Morlaix…) aborde une composante réseaux électriques et énergies renouvelables, et particulièrement les énergies éolienne et photovoltaïque.

Métiers de l’électricité et de l’énergie (MEE)

Cette licence professionnelle proposée par plusieurs IUT (Montpellier, Brest-Morlaix…) aborde une composante réseaux électriques et énergies renouvelables, et particulièrement les énergies éolienne et photovoltaïque.

Mesures physiques, parcours Mesures et analyses environnementales (MP)

Le BUT Mesures physiques est un diplôme de technicien supérieur spécialiste de la mesures, qui s’obtient en trois années (niveau L3). Il est décliné en France selon trois parcours, dont un est particulièrement lié aux EnR_: le parcours Mesures et analyses environnementales (MAE). Ce parcours commence au BUT 2 et est surtout présent au BUT 3 (200 heures). Il est composé pour moitié d’enseignements sur la mesure environnementale (les polluants air, eau, sol, bruit, radioactivité, vibrations…) ; pour l’autre moitié, sur les mesures dans les contextes de production d’EnR.
L’IUT de Poitiers-Niort-Châtellerault, site de Châtellerault, par exemple, fort de son expérience avec son ancien parcours photovoltaïque (ouvert en 2010) et son ancienne licence professionnelle Mesure de la qualité des milieux (2008-2023), propose exclusivement ce parcours MAE. L’apprentissage est possible soit sur les deux dernières années (BUT 2 et 3), soit uniquement sur la troisième année.