Cette formation de trois jours proposée par le Costic vise à savoir prescrire, dimensionner et prévoir la mise en œuvre des chaufferies collectives au bois.
Archives
Adobois – Méthodologie d’audit, de diagnostic et d’optimisation des performances d’une chaufferie bois
Organisée depuis 2016 en partenariat par Metrol et le Cibe (Comité interprofessionnel du bois-énergie), cette formation s’adresse aux professionnels souhaitant acquérir ou parfaire une connaissance méthodologique et pratique de l’exploitation, de l’entretien et de la maintenance d’une chaufferie bois-énergie. Adobois est une occasion unique de connaître les règles de l’art, de l’audit, du diagnostic et de l’optimisation du rendement d’une installation, tant sur les aspects techniques que réglementaires, financiers, économiques et environnementaux.
Offwind
Le master Offwind vise à former des ingénieurs opérationnels, des ingénieurs en recherche et développement et des chefs de projet pour le secteur de l’énergie éolienne flottante et de l’énergie éolienne de fond. Né sous l’égide de l’Institut polytechnique de Paris, Offwind s’appuie sur l’expertise et la complémentarité de trois grandes écoles d’ingénieurs : Ensta Bretagne, Ensta Paris et École nationale des ponts et chaussées.
L’objectif de ce programme est de relever le défi de la transition énergétique dans un contexte de tensions énergétiques croissantes, où le développement de l’éolien offshore représente un enjeu stratégique à l’échelle mondiale. Pour relever ce défi, la France s’est engagée dans un processus de montée en puissance de l’éolien en mer, qui nécessite la formation de cadres hautement qualifiés dans les domaines de la R&D et de la conception de systèmes d’exploitation performants. Les cours sont dispensés en anglais pour permettre aux étudiants étrangers de bénéficier du programme.
La première année de ce master se déroulera à Ensta Paris, sur le campus d’IP Paris à Palaiseau et à l’ENPC à Marne-la-Vallée. Elle englobera toutes les disciplines indispensables à la conduite de programmes de R&D et conception en éolien offshore, en génie mécanique et mécanique des fluides en particulier.
La seconde aura lieu à Ensta Bretagne, à Brest, et se concentrera sur un programme scientifique consacré à la conception de toutes les composantes d’un parc éolien offshore flottant (plateformes, turbines, câbles…).
Master Management de la transition énergétique
En part-time sur douze mois, ce MBA spécialisé a pour vocation de former des profils pluridisciplinaires de managers qui seront capables de piloter aussi bien des démarches de sobriété et d’efficacité énergétique que des projets d’énergie renouvelable. Cette formation sur les outils/méthodes de pilotage et d’évaluation des projets de transition énergétique facilite la prise en compte par les décideurs de l’intérêt économique de telles démarches.
Énergie et matériaux avancés (EMA) – Énergies renouvelables
Ce master pro recherche fournit aux étudiants les connaissances de base sur les énergies renouvelables et leur apprend à réaliser une évaluation économique des projets d’énergies renouvelables avec une expertise technique sur le photovoltaïque, le solaire thermique et l’éolien.
Énergies renouvelables et efficacité énergétique
Cette filière énergie de Esiee Paris vise à former des ingénieurs avec une expertise à la fois en énergies renouvelables et en efficacité énergétique. Les élèves diplômés sont ainsi capables de modéliser, concevoir et assurer la maîtrise d’ouvrage de systèmes énergétiques innovants ainsi que de réaliser des audits énergétiques de systèmes existants. Ils sont à même de proposer des solutions utilisant largement la palette des énergies renouvelables (solaire photovoltaïque/thermique, biomasse, éolien terrestre et maritime, hydraulique, géothermie), autonomes ou connectées aux réseaux, performantes sur le plan de l’efficacité énergétique, respectueuses des enjeux environnementaux et utilisant à bon escient les TIC, les objets connectés, les réseaux intelligents dans le respect de la réglementation, des délais et des contraintes économiques. Le cursus se fait en cinq ans après un bac S ou en trois ans à partir d’un bac +2 (classes préparatoires, BUT, BTS, licences L2 scientifiques et techniques). Cette formation est marquée par son ouverture internationale. Membre de l’université Gustave-Eiffel, Esiee Paris profite d’un environnement de haut niveau en matière d’enseignement et de recherche œuvrant à l’invention de la ville de demain.
Energy environment : science technology and management (Steem)
Depuis la rentrée 2016, l’École polytechnique propose un master of science and technology (MSc&T), sur deux ans, dédié à la transition énergétique. Ce master, dispensé entièrement en anglais, apporte une formation scientifique pluridisciplinaire sur les domaines de la production d’énergie renouvelable, du stockage, des réseaux intelligents et de la gestion des sources intermittentes. À cela s’ajoutent des cours sur les grandes problématiques environnementales, en lien avec la production ou la consommation d’énergie, que sont le changement climatique, la pollution atmosphérique et la ressource en eau. Ce master est professionnalisant et, en plus de l’expertise scientifique, il forme les étudiants sur le management de l’énergie, le développement d’une économie bas carbone et l’entrepreneuriat (en collaboration avec HEC). Ce master a un recrutement très sélectif et très international (90_% de la promotion). Ceci offre une ambiance de travail qui permet de confronter des étudiants de différentes cultures aux enjeux des différentes régions du monde face à la transition énergétique. Il est associé au master in renewable energy sur deux ans. Cette formation est un programme d’échange européen financé par le KIC InnoEnergy, avec le KTH Stockholm, l’UPC Barcelone et l’IST Lisbonne. De nombreux enseignements pratiques et les travaux de recherche des étudiants bénéficient de l’étroite collaboration avec les laboratoires de recherche de l’institut Energy for Climate (E4C) de l’École polytechnique, du Site instrumental de recherche de télédétection atmosphérique (Sirta) et de l’Institut photovoltaïque d’Île-de-France (IPVF).
Énergies – Ingénierie de la transition énergétique
Cette filière vise à former des ingénieurs qui participeront à la transition énergétique maîtrisant les systèmes de production d’énergie, de distribution et de stockage ou encore de consommation. Ils seront ainsi en mesure d’activer les leviers de la production décarbonée et/ou de l’efficacité énergétique, avec une sensibilisation aux enjeux de sobriété énergétique par une ouverture interdisciplinaire forte. Contribuer à la transition énergétique nécessite de pouvoir intervenir sur les sources fossiles, nucléaires ou renouvelables d’énergie ainsi que sur les vecteurs électriques ou thermiques, mais aussi d’autre nature (biogaz, hydrogène…). Les apprentis seront amenés à manipuler les méthodes expérimentales et numériques, avec notamment des capacités de simulation et de programmation pour l’analyse de données (datascience) ou le pilotage de systèmes énergétiques.
Géosciences pour l’énergie (GeosEN)
Le CMI GeosEN forme des ingénieurs géologues et géophysiciens spécialistes de la croûte supérieure dans ses aspects de géologie structurale, de physique et de mécanique des roches, incluant la modélisation numérique et le travail de terrain. Ils participeront aux innovations technologiques et à l’émergence des nouvelles filières industrielles autour du stockage souterrain et de la géothermie, en contribuant à l’éventail des tâches depuis l’exploration jusqu’à la gestion des risques associés à l’exploitation des sites.
Environnement
Ce master de l’université de Cergy se décline en M2 selon 4 parcours_: écoconception et gestion des déchets_; écoconstruction_; RSE, communication et environnement_; géosciences pour l’énergie. Le M1 est partiellement commun aux quatre parcours et comprend notamment 43 heures d’enseignement sur la thermodynamique et les énergies renouvelables. En M2, le parcours écoconception et _gestion des déchets inclut en plus un module sur la gestion de l’énergie (35 heures) et la gestion de l’eau (35 heures), tandis que celui sur l’écoconstruction creuse le sujet des énergies et de la thermique du bâtiment pendant 61 heures. Le parcours géosciences pour l’énergie a quant à lui été créé en 2019 et vise à former les étudiants aux nouveaux usages du sous-sol comme la géothermie (60 heures) et le géostockage (58 heures), pouvant servir à stocker en sous-sol de l’énergie thermique ou simplement des fluides. Les cours de cette spécialité sont donnés en grande partie en anglais et comprennent une partie modélisation, du travail en laboratoire et des recherches sur le terrain. Les enseignements des trois autres parcours sont complétés par des séminaires, des visites de sites et la participation à des salons. Dans chacune des spécialités, deux tiers des enseignements sont assurés par des professionnels. Le master est ouvert à la formation continue pour tout (formation diplômante de niveau master) ou partie (attestation de formation délivrée pour chaque unité d’enseignement suivie).