Génie énergétique et génie de l’environnement

Le département Génie énergétique et génie de l’environnement (GEn) de l’Insa Lyon forme des ingénieurs polyvalents dans les secteurs de l’énergie et de l’environnement. Il diplôme 66 ingénieurs par an qui se placent majoritairement dans les secteurs de la production et de la distribution de l’énergie, de l’énergétique du bâtiment et des transports, des procédés et de l’environnement.
Le département GEn s’appuie sur :
• l’association des élèves du département GEn de l’Insa Lyon, l’AGEnIL, qui organise la vie étudiante dans le département et les événements en lien avec le monde professionnel (forums, entretiens blancs, salon Pollutec, rencontres avec les anciens…) ;
• un réseau d’anciens diplômés qui participent à l’évolution de la formation et transmettent régulièrement des offres de stage et d’emploi ;
• deux laboratoires de recherche, le Centre de thermique et d’énergétique de Lyon (Cethil) et le laboratoire Déchets, eau, environnement et pollution (DEEP), qui forment des docteurs en énergétique et environnement.

Master thermique énergétique

La spécialité Énergétique a pour vocation de former des cadres aptes à travailler sur :
• des applications de transferts de chaleur et de matière dans différents secteurs (génie industriel, production d’énergie, procédés de transformation de la matière, génie climatique) ;
• de la conception, du dimensionnement et de la commercialisation de procédés et de systèmes thermiques ;
• de la conception de bâtiments BBC et Bepos respectant le label HQE ;
• l’audit et l’expertise énergétique en s’appuyant sur les normes (par exemple : ISO 50001) ;
• de la modélisation et de la simulation numérique.
Ces cadres peuvent être amenés à diriger des entreprises dans le domaine de l’énergétique.

Ce master donne aux étudiants les outils scientifiques en thermodynamique, thermique, mécanique des fluides, matériaux, éco-conception et électricité, qui leur permettront de maîtriser les phénomènes physiques qui se manifestent dans des systèmes de production, distribution et utilisation de l’énergie, et dans la conception d’éco-matériaux en insistant tout particulièrement sur les énergies renouvelables. La formation est construite autour des besoins réels des entreprises et des collectivités territoriales.

Master thermique énergétique

La spécialité Énergétique a pour vocation de former des cadres aptes à travailler sur :
• des applications de transferts de chaleur et de matière dans différents secteurs (génie industriel, production d’énergie, procédés de transformation de la matière, génie climatique) ;
• de la conception, du dimensionnement et de la commercialisation de procédés et de systèmes thermiques ;
• de la conception de bâtiments BBC et Bepos respectant le label HQE ;
• l’audit et l’expertise énergétique en s’appuyant sur les normes (par exemple : ISO 50001) ;
• de la modélisation et de la simulation numérique.
Ces cadres peuvent être amenés à diriger des entreprises dans le domaine de l’énergétique.

Génie thermique, énergétique et environnement

La spécialité Génie thermique, énergétique et environnement forme des ingénieurs climaticiens pour les secteurs du bâtiment et de l’industrie, capables de concevoir des systèmes climatiques économes en énergie et en ressource et à faible impact environnemental, d’assurer le suivi de leur réalisation et d’en piloter la gestion et la maintenance. Ces systèmes permettent la maîtrise de climats artificiels dans les bâtiments à usage d’habitation, tertiaires ou industriels.

L’ingénieur diplômé en génie thermique, énergétique et environnement est capable de gérer des projets sur les plans technique, organisationnel, économique et humain dans les grands domaines du génie climatique (chauffage, ventilation, conditionnement d’air), les installations sanitaires, l’énergétique du bâtiment, la production et distribution d’énergie thermique, frigorifique et électrique décentralisée, la qualité de l’air.
Ses compétences se déploient dans une démarche qui allie sobriété, efficacité énergétique et valorisation des énergies renouvelables et fatales. L’ingénieur climaticien est ainsi un acteur majeur pour répondre aux défis de la transition énergétique et des enjeux énergie-climat.
L’objectif est d’apporter les connaissances et les compétences nécessaires pour que l’ingénieur formé puisse s’adapter aux évolutions de son métier et de son environnement, tout en étant opérationnel à la sortie de l’Insa.
Le fil rouge de la formation académique se caractérise par les mots clés suivants : sobriété, efficacité énergétique et environnementale et valorisation des énergies renouvelables et fatales.

Énergie solaire : ingénierie et économie – Energie pour bâtiments et villes solaires

La formation professionnelle de cadres experts constitue l’un des piliers de la TECV (transition énergétique pour la croissance verte). L’Ines Plateforme formation et évaluation et l’USMB/Polytech sont historiquement des acteurs nationaux de référence dans ce domaine. Ils proposent ici un master en formation continue diplômante répondant à ce défi de la transition.
Cette formation a pour ambition de développer deux objectifs majeurs :
• acquérir les connaissances scientifiques, techniques, économiques et juridiques nécessaires :
– à l’éco-conception et la mise en œuvre de bâtiments sobres et efficaces,
– à la maîtrise professionnelle des applications énergies renouvelables solaires thermiques et photovoltaïques ;
• donner les clés et les outils de la transition énergétique territoriale.

Transition énergétique et territoires

Il s’agit de former à la simulation, la modélisation, la conception, l’évaluation et l’exploitation d’un système (véhicule, bâtiment, procédés, produit, service…) en termes de performance énergétique observée, de l’échelle des matériaux à celle d’un territoire en passant par celle du bâtiment, des réseaux, des systèmes de transport, le tout en cohérence avec les enjeux géopolitiques de l’énergie, en mettant un accent particulier sur l’appropriation des solutions mises en œuvre par l’ensemble des parties prenantes.

Le master a également pour vocation de :
• donner un panorama technique sur les modes de production et de stockage de l’énergie et sur les technologies ;
• approfondir les compétences techniques abordées en première année du cycle master, notamment en termes de gestion et d’économie de l’énergie dans le bâtiment et/ou dans les transports ;
• proposer une grille de lecture des enjeux géostratégiques liés aux énergies et fournir les éléments réglementaires pertinents ;
• approfondir les connaissances en termes de fonctionnement des marchés de l’énergie.
Mais celle-ci implique de mobiliser des personnes qui aient à la fois :
• une compétence technique réelle en thermique et/ou énergétique ;
• une compétence technique en termes d’efficacité énergétique dans les transports ou le bâtiment ;
• des compétences en économie de l’énergie, en financement de projet et en élaboration de business plan et business model ;
• des capacités à proposer des instruments de gestion des réseaux et d’optimisation des stratégies d’équilibre offre/demande à différentes échelles territoriales (bâtiment, quartier, ville…) ;
• des capacités à produire des modèles économiques viables de stratégie énergétique ;
• des capacités à apprendre à mobiliser et intégrer l’ensemble des compétences nécessaires à la définition et au pilotage d’une stratégie énergétique ;
• des capacités à construire dans le dialogue avec les parties prenantes l’acceptabilité de la transition énergétique.

Ecotechnologies for sustainability and environment management (Ecosem)

Le master Environmental engineering and sustainability management a pour objectif de former des ingénieurs et chefs de projets capables de relever des défis environnementaux très variés tels que le contrôle des rejets industriels, les approches chimiques et biologiques pour le diagnostic de la pollution, l’engineering lié au traitement des eaux, des sols et à la valorisation des déchets. Le programme met également l’accent sur de nouveaux concepts tels que l’analyse du cycle de vie, l’éco-conception, les sciences omiques, la simulation numérique et la modélisation.

À la différence de la plupart des masters consacrés à des projets environnementaux, qui n’apportent aux étudiants que des compétences techniques, le master EESM vous prépare également à des postes de direction. Tous les professeurs du programme s’efforcent de rendre les étudiants non seulement compétents sur le plan technique, mais aussi aptes sur le plan professionnel d’ici la fin des deux années. Durant le programme, les étudiants ont ainsi l’occasion de participer à de nombreuses visites de terrain et d’entreprises. Ils ont également l’opportunité de mettre en pratique leurs compétences au cours de deux stages.

Economics for Smart Cities and Climate Policy (Esclip)

Le master Economics for Smart Cities and Climate Policy offre à la fois des cours généraux d’économie et des cours appliqués aux contextes urbains et aux politiques urbaines.
Tout au long du programme, les étudiants acquièrent de solides compétences en économie en suivant des cours sur l’économie de finance d’entreprise, l’organisation industrielle et la responsabilité sociale des entreprises.
Ils apprennent également à traiter les questions économiques urbaines à travers des cours d’économie environnementale et de politique urbaine, d’immobilier, de systèmes de circulation et de transport, et d’économie de développement local, entre autres.

Offwind

Le master Offwind vise à former des ingénieurs opérationnels, des ingénieurs en recherche et développement et des chefs de projet pour le secteur de l’énergie éolienne flottante et de l’énergie éolienne de fond. Né sous l’égide de l’Institut polytechnique de Paris, Offwind s’appuie sur l’expertise et la complémentarité de trois grandes écoles d’ingénieurs : Ensta Bretagne, Ensta Paris et École nationale des ponts et chaussées.
L’objectif de ce programme est de relever le défi de la transition énergétique dans un contexte de tensions énergétiques croissantes, où le développement de l’éolien offshore représente un enjeu stratégique à l’échelle mondiale. Pour relever ce défi, la France s’est engagée dans un processus de montée en puissance de l’éolien en mer, qui nécessite la formation de cadres hautement qualifiés dans les domaines de la R&D et de la conception de systèmes d’exploitation performants. Les cours sont dispensés en anglais pour permettre aux étudiants étrangers de bénéficier du programme.
La première année de ce master se déroulera à Ensta Paris, sur le campus d’IP Paris à Palaiseau et à l’ENPC à Marne-la-Vallée. Elle englobera toutes les disciplines indispensables à la conduite de programmes de R&D et conception en éolien offshore, en génie mécanique et mécanique des fluides en particulier.
La seconde aura lieu à Ensta Bretagne, à Brest, et se concentrera sur un programme scientifique consacré à la conception de toutes les composantes d’un parc éolien offshore flottant (plateformes, turbines, câbles…).

Nouvelles technologies de l’énergie

Ce Mastère spécialisé®coaccrédité par les écoles publiques d’ingénieurs INP-Enseeiht et INP-Ensiacet donne aux étudiants une connaissance avancée de la problématique de l’énergie et de ses nouvelles technologies. Il s’appuie sur une interdisciplinarité croisant particulièrement le génie électrique et le génie des procédés. Les différents volets méthodologiques et technologiques traités visent la conception de nouveaux systèmes énergétiques, plus efficaces et durables_: écoconception, modélisation orientée énergie, analyse du cycle de vie, optimisation multicritère, bilan carbone, énergies renouvelables et leur stockage, vecteur hydrogène et piles à combustible, smart grids. Le programme du premier semestre compte six unités d’enseignement_: conception systémique et écoconception_; systèmes hybrides, smart grids et stockage électrochimique_; énergies renouvelables (photovoltaïque, éolien, biomasse, petite hydraulique)_; formation générale (anglais et journées thématiques sur divers aspects clés de l’énergie)_; projet long en groupe (six semaines). Des visites de sites (centrales photovoltaïques, hydrauliques, éoliennes et production biogaz) pour illustrer les principes sont également au programme.